Aujourd'hui ma maîtresse adorée me reçoit en tailleur strict, jupe mi-longue fendue laissant apercevoir ses magnifiques cuisses. Elle porte des bas et de superbes escarpins à talon haut. Elle
m'ordonne de l'embrasser dans le cou pendant qu'elle me 
déshabille. Une fois nu, elle me pince les seins en tournant, puis accroche à chaque téton un poids d'environ 200 grammes. Ensuite, elle me fait mettre à genou et demande que je fasse
briller ses escarpins avec la langue, en commençant par les talons. Elle m'ordonne de rester à genou et de remonter doucement le long de ses jambes en la léchant et l'embrassant sans omettre un
centimètre carré. Arrivé à mi-cuisse, elle relève sa jupe et m'abreuve de son champagne. Après elle me tire par les cheveux, met ma bouche sur son sexe et ordonne de le lécher. Mon excitation est
à son comble et s'en apercevant mon amie me branla avec l'un de ses pieds. Le contact avec la douceur du cuir de l'escarpin, la froideur de la semelle et la raideur du talon aiguille m'emmène
prêt de l'extase. Elle saisi alors les poids de mes tétons, tira un peu dessus puis les laissa retomber et cela plusieurs fois. Douleur et plaisir se mélangent, je continue à lui lécher son
délicieux petit minou, je suis bien et je souhaite ce moment éternel.
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Il y a quelques années j'ai fait la connaissance d'une femme
d'environ 60 ans de la région de St Etienne. Je la savais coquine, mais à ce point, je ne m'en doutait pas. Après avoir correspondu quelques temps, elle m'invita à passer chez elle un après midi.
Elle me reçu en jupe grise tombant jusqu'à mi cuisse, en dim up noir et escarpins gris à talons hauts. Elle portait un déshabillé noir transparent laissant apparaître une paire de seins généreux.
On a pris un verre tout en discutant, puis elle m'invita à passer dans la chambre tout en commençant à m'embrasser. Elle me dévêtit entièrement en me caressant et m'embrassant. Moi je reste
habillée, me dit elle. Elle me fit étendre sur le lit et me demanda si je voulais bien qu'elle m'attache. Je ne pu refuser cette invitation. Ceci fait, elle m'embrassa longuement tout en me
pinçant les tétons. Mon plaisir était à son comble, elle frottait ses jambes contre mon sexe. Elle se releva, sorti de la table de nuit des pinces qu'elle posa sur mes tétons encore cuisants et
portant la marque de ses ongles. Elle pris également un plug, qu'elle lécha malicieusement et sans avertissement me le mis dans le fion. Elle l'actionna doucement tout en remuant tour à tour les
pinces accrochées à mes seins. C'était tout simplement divin, parfois elle se couchait entièrement et venait m'embrasser longuement. Il ne te reste qu'un endroit qui n'a rien , me dit elle. Je
vais m'en occuper. Elle saisi de derrière le lit une fine baguette de noisetier et après m'avoir décalotté le gland, m'en infligea une bonne cinquantaine de coup. J'étais au bord de l'extase, le
sexe prêt à exploser. Comme pour calmer le feu de ma bite, elle l'avala presque entièrement et le garda en bouche un moment. Ensuite, elle me donna un long baiser, puis me dit, encore une
petite surprise mon chéri et je te donne ta récompense. Elle sorti encore du fameux tiroir de la table de nuit, une baguette chinoise, la lécha, me pressa le gland et doucement l'enfonça dans
l'urètre. Là ce fut vraiment une surprise, car c'était la première fois que je subissais cela. Tu vas voir, c'est bon me dit elle, tu vas même jouir. J'avais la baguette au 3/4 enfoncée, quand
elle me dit; maintenant pendant que je m'amuse avec elle dans ta queue, tu vas goûter ma chatte. Elle ôta sa jupe, garda ses bas et ses escarpins et vint coller son minou à peine épilé mais tout
mouillé sur ma bouche. Je ne sais plus combien de temps cela a duré, elle me pénétrant l'urètre avec la baguette et moi la pénétrant avec la langue et caressant ses douces cuisses, mais je sais
que je n'oublierai pas cette après midi de merveilleuses découvertes et de nouvelles sensations.
