plaisirteton

Myriam me reçoit ce mardi en tenue léopard, hauts escarpins assortis et bas noir très soyeux. Après m'avoir déshabillé, elle tire bien sur mes bourses puis avec une corde fait plusieurs tours et fait un noeud. Elle met un gros élastique à la base de mon gland et le serre fort. Maîtresse me demande de me coucher sur le tapis du salon, puis me caresse le sexe avec des orties, s'attardant bien sur le gland déjà bien gonflé. Je sens comme des milliers de piqûres, ça me brûle mais c'est très excitant. Après un bon quart d'heure de ces caresses, elle lèche un vibromasseur puis le met à plein régime dans mon petit trou. Afin que je le garde bien en moi, elle me donne une de ses culottes et m'ordonne de la mettre sans faire sortir l'appareil; sinon gage. Ce n'est pas facile de se culotter couché, donc j'ai droit à la punition. Le vibro remis à sa place bien profondément, Myriam vient s'agenouiller sur ma bouche me présentant sa

belle chatte gonflée d'envie. Vas y, lèche moi me dit-elle et ne t'arrête pas. Elle commence à me griffer le torse avec ses ongle de félin, s'attardant longuement sur mes seins. J'adore ça, elle le sait bien, elle pince parfois les tétons et recommence à me griffer. Pendant ce temps, je me délecte de sa liqueur que j'aime tant. Je suis bien et mon amie aussi car à plusieurs reprises elle m'a demandé de la laisser souffler un peu. Tes tétons sont durs et ils pointent comme une petite salope que tu es, me dit-elle; puis elle me les pince fortement, m'arrachant un gémissement de douleur mélangé de plaisir. Une nouvelle fois, je sens Maîtresse jouir. Son plaisir coule sur ma langue suivi de plusieurs jets de champagne qui m'innonde la bouche et le torse. Lèche moi encore, ordonna t'elle en me tirant les tétons comme si elle voulait me les arracher. 

  Il y a quelques années j'ai fait la connaissance d'une femme d'environ 60 ans de la région de St Etienne. Je la savais coquine, mais à ce point, je ne m'en doutait pas. Après avoir correspondu quelques temps, elle m'invita à passer chez elle un après midi. Elle me reçu en jupe grise tombant jusqu'à mi cuisse, en dim up noir et escarpins gris à talons hauts. Elle portait un déshabillé noir transparent laissant apparaître une paire de seins généreux. On a pris un verre tout en discutant, puis elle m'invita à passer dans la chambre tout en commençant à m'embrasser. Elle me dévêtit entièrement en me caressant et m'embrassant. Moi je reste habillée, me dit elle. Elle me fit étendre sur le lit et me demanda si je voulais bien qu'elle m'attache. Je ne pu refuser cette invitation. Ceci fait, elle m'embrassa longuement tout en me pinçant les tétons. Mon plaisir était à son comble, elle frottait ses jambes contre mon sexe. Elle se releva, sorti de la table de nuit des pinces qu'elle posa sur mes tétons encore cuisants et portant la marque de ses ongles. Elle pris également un plug, qu'elle lécha malicieusement et sans avertissement me le mis dans le fion. Elle l'actionna doucement tout en remuant tour à tour les pinces accrochées à mes seins. C'était tout simplement divin, parfois elle se couchait entièrement et venait m'embrasser longuement. Il ne te reste qu'un endroit qui n'a rien , me dit elle. Je vais m'en occuper. Elle saisi de derrière le lit une fine baguette de noisetier et après m'avoir décalotté le gland, m'en infligea une bonne cinquantaine de coup. J'étais au bord de l'extase, le sexe prêt à exploser. Comme pour calmer le feu de ma bite, elle l'avala presque entièrement et le garda en bouche un moment.  Ensuite, elle me donna un long baiser, puis me dit, encore une petite surprise mon chéri et je te donne ta récompense. Elle sorti encore du fameux tiroir de la table de nuit, une baguette chinoise, la lécha, me pressa le gland et doucement l'enfonça dans l'urètre. Là ce fut vraiment une surprise, car c'était la première fois que je subissais cela. Tu vas voir, c'est bon me dit elle, tu vas même jouir. J'avais la baguette au 3/4 enfoncée, quand elle me dit; maintenant pendant que je m'amuse avec elle dans ta queue, tu vas goûter ma chatte. Elle ôta sa jupe, garda ses bas et ses escarpins et vint coller son minou à peine épilé mais tout mouillé sur ma bouche. Je ne sais plus combien de temps cela a duré, elle me pénétrant l'urètre avec la baguette et moi la pénétrant avec la langue et caressant ses douces cuisses, mais je sais que je n'oublierai pas cette après midi de merveilleuses découvertes et de nouvelles sensations.